Introduction au thème semaine
Nous ne sommes pas des êtres rationnels et sans affect capables de traiter l’information
de manière neutre et de prendre toujours les meilleures décisions. Nous sommes biaisés.
Les biais cognitifs, ce sont des distorsions que subissent les informations
en entrant ou en sortant de notre système cognitif.
Le biais négatif est cette tendance très connue en psychologie qu’a le cerveau de mettre le
focus sur ce qui ne va pas bien, ou sur ce qui pourrait ne pas bien aller.
Cette faculté du cerveau s’est créée dans le but de nous protéger des dangers à une époque lointaine
où notre aptitude à survivre était en grande partie dépendante de ce système qui est régi par une partie plus ancienne de notre cerveau. Toutefois, dans notre monde moderne cette faculté nous maintient captif de perceptions qui souvent, n’a pas de lien réel avec la réalité. Existe t’il une réelle menace? Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité nous pouvons aspirer à une vie plus détendue, joyeuse et sereine. Mais notre cerveau et sa faculté d’être à l’affût du danger nous empêchent bien souvent d’y accéder.
Nous devons nous rappeler que si nous avons beaucoup de pensées en lien avec ce qui a mal été,
que l’on cherche à comprendre pourquoi, cela est tout à fait normal,
notre cerveau fait simplement son travail.
Comme le cœur qui bat et les poumons qui respirent, le cerveau pense et est à l’affût des
problèmes potentiels ou des risques pour notre survie.
Les biais négatifs peuvent être à la source de souffrance et nous empêcher de profiter de la vie.
Ils sont souvent en cause chez les gens qui ont une humeur dépressive ou qui souffrent d’anxiété.
Il est possible de prendre conscience de nos biais négatifs et de choisir de ralentir et de donner moins d’importance aux pensées négatives.
Il est important de se rappeler que le cerveau ne fait que jouer son rôle et que c’est tout à fait normal
d’avoir parfois ou même souvent ce type de pensées négatives et d’avoir de l’auto compassion
pour ce que nous sommes en train d’expérimenter, et de choisir par la suite d’autres schémas,
d’autres comportements qui vont nourrir des états d’être de calme, de focus sur ce qui va bien
et de sentiment de sécurité.
En résumé, nous pouvons entraîner notre cerveau à développer les circuits neuronaux positifs, en prenant conscience des pensées négatives, en leur laissant moins de place et en sortant du système de réponse à la menace pour nourrir le système d’apaisement.
de manière neutre et de prendre toujours les meilleures décisions. Nous sommes biaisés.
Les biais cognitifs, ce sont des distorsions que subissent les informations
en entrant ou en sortant de notre système cognitif.
Le biais négatif est cette tendance très connue en psychologie qu’a le cerveau de mettre le
focus sur ce qui ne va pas bien, ou sur ce qui pourrait ne pas bien aller.
Cette faculté du cerveau s’est créée dans le but de nous protéger des dangers à une époque lointaine
où notre aptitude à survivre était en grande partie dépendante de ce système qui est régi par une partie plus ancienne de notre cerveau. Toutefois, dans notre monde moderne cette faculté nous maintient captif de perceptions qui souvent, n’a pas de lien réel avec la réalité. Existe t’il une réelle menace? Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité nous pouvons aspirer à une vie plus détendue, joyeuse et sereine. Mais notre cerveau et sa faculté d’être à l’affût du danger nous empêchent bien souvent d’y accéder.
Nous devons nous rappeler que si nous avons beaucoup de pensées en lien avec ce qui a mal été,
que l’on cherche à comprendre pourquoi, cela est tout à fait normal,
notre cerveau fait simplement son travail.
Comme le cœur qui bat et les poumons qui respirent, le cerveau pense et est à l’affût des
problèmes potentiels ou des risques pour notre survie.
Les biais négatifs peuvent être à la source de souffrance et nous empêcher de profiter de la vie.
Ils sont souvent en cause chez les gens qui ont une humeur dépressive ou qui souffrent d’anxiété.
Il est possible de prendre conscience de nos biais négatifs et de choisir de ralentir et de donner moins d’importance aux pensées négatives.
Il est important de se rappeler que le cerveau ne fait que jouer son rôle et que c’est tout à fait normal
d’avoir parfois ou même souvent ce type de pensées négatives et d’avoir de l’auto compassion
pour ce que nous sommes en train d’expérimenter, et de choisir par la suite d’autres schémas,
d’autres comportements qui vont nourrir des états d’être de calme, de focus sur ce qui va bien
et de sentiment de sécurité.
En résumé, nous pouvons entraîner notre cerveau à développer les circuits neuronaux positifs, en prenant conscience des pensées négatives, en leur laissant moins de place et en sortant du système de réponse à la menace pour nourrir le système d’apaisement.